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Paragraphe 1
Plusieurs études physiologiques quantitatives et essais cliniques ont été réalisés dans le domaine de la science médicale humaine pour pointer les effets bénéfiques du Yoga sur la santé physique, psychique et mentale.
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Selon l’étude randomisée contrôlée de M. Yurtkuran, A.Alp, K. Dilek, en 2007 : après trois mois de pratique modérée du yoga chez les patients ayants une insuffisance rénale et sous dialyse, il a été enregistré: une diminution: de la douleur de 37%, de la faiblesse générale de 55%, des troubles du sommeil à 25%, de l'urée sanguine de 29%, de la créatinine à 14%, de taux de cholestérol de 15% ; une augmentation des érythrocytes de 11% et de la force de compression du poignet de 15% par rapport aux témoins.
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Paragraphe 1
Une autre étude clinique récente sur l’effet anti-douleur du Yoga (P. Jurisic, D. Martins – 2018) : ils ont démontré l’intérêt de la pratique du yoga dans les douleurs chroniques telle que les lombalgies, les douleurs musculosquelettiques et les céphalées, probablement par un mécanisme de neuromodulation dans les régions cérébrales impliquées dans le contrôle de la douleur (cortex insulaire). Par rapport à des sujets témoins, les yogis présentent en général une plus grande tolérance à la douleur, une plus grande densité des substances blanche et grise dans plusieurs régions cérébrales responsables de l’attention et du contrôle de la douleur. La durée de la pratique du yoga est proportionnelle au volume de substance grise dans le cortex insulaire gauche, ce qui suggère que l’expérience du yogi contribue aux différences anatomiques entre les « débutants » et les « confirmés ». Les yogis adoptent des stratégies mentales favorisant l’activation du cortex insulaire ainsi que sa connectivité avec d’autres régions cérébrales.
Paragraphe 2
Des travaux australiens, publiés en 2016, ont aussi esquissé les atouts du yoga chez des personnes âgées (67 ans en moyenne) et atteintes d’une altération modérée des fonctions cognitives (maladie d’Alzheimer) : après trois mois de pratique yogique régulière, les patients avaient moins de symptômes dépressifs et de meilleures performances aux tests de mémoire. Ces résultats pourraient s’expliquer par une amélioration des interactions entre différentes zones du cerveau, constatée lors d’une imagerie cérébrale par l’IRM fonctionnelle.
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Voici également quelques autres effets bénéfiques du pranayama sur des différents paramètres vitaux du corps humain
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Voici également quelques autres effets bénéfiques de la méditation sur des différents paramètres vitaux du corps humain
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Elément de liste 5
Elément de liste 6
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Voici également quelques autres effets bénéfiques des asanas sur des différents paramètres vitaux du corps humain
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